.

 


31 mars 2007




( Taïauuuuut ! )

Se ramasser en petites coupures
s'écarteler les poches sous les yeux
vérification hostile de sa propre absence
espérer qu'on n'y reviendra plus
que par amour
par désir
et que la dernière chose sur Terre
pour laquelle on respire encore
est bien celle pour qui on a toujours
toujours
regardé la nuit
sourire aux dents.

..the album leaf - another day (revisited

... invidé par OlendelL à 16:05





30 mars 2007




j'ai été me crever longtemps
j'ai marché dans mon corps
pour déterrer ma mort.
et maintenant ma mort vole près de moi

... invidé par efer à 10:39





29 mars 2007




g . h . o . s . t

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 20:28





28 mars 2007




underneath as



(featuring François Richard).

... invidé par estragon à 14:21





27 mars 2007




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step 30

... invidé par cocolinoNEVERdie à 18:23





26 mars 2007




françois

... invidé par saihtaM à 23:37





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25 mars 2007




imminence grise [my own steppes m:x]

délave vent délabre :lambeaux faits des jalons noirs du :temps des diapasons & plaines froides dès ciel s’immisce en onde aussi blafard bas les signes claquent chenaux oreilles détresses mais dédommagent des colonnes lambines
a.lors plus qu’une steppe or sans compter quelques kelvins restants traces dysolvantes déroutes rouilles d’échelles volutions tuées
.lors l’arche qui clôt sonne l’aurore démodulable nébuleuse où l’horizon devient n-concentriques :vortixmes rotorcavite_dentrelles_nimbientoile transpmental_tovers cybavenues nuvenelles de chipsetpole oùtrechocs quantechoèses glitchançà sulfutraînes dubrasement fog0rétines pourdiffception_dl_stroboroutine & progtégration duterstice pointdbain cervodanse paradigliqid :ce pas dans nouveau référentiel juste shift ±unité où seoir axes planter non comme sommet atteint mais start fileté d.étente chambre à fils où arachner poèses à leur intraparcours soïde et les voir peut-être signifier contours jusqu’instant fantômes
tantôt vues comme d’infectieuses visions teintes RV traçaient isopotentiels révélant vallées dont l’aval est certainement 47 :brèche en cours pour fluences orphelines l’air de Bethany spores charriées huiluscules rails dans le ciel matinsoir
voilà lubrifiante brise fleur d’imminence sans égale que lueur verte d’un winamp classique seules peuvent hanter les puissants parsecs occupant %/lobes temporaux et pleuvoir portes possibles sur d’outres lactées
débordent sans raison leurs phases désespérances acides et s’entremigrent lascives d’un spectre à l’autre dualité
puis retombent sous seuil de libération exocytorbitale
marcs communs dans languie
delà murs étouffés
missiles raidis
collimation

... invidé par n(cqls)² à 23:36





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steppes 29

... invidé par cocolinoNEVERdie à 19:23





24 mars 2007




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steppes 28

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21 mars 2007




T H E W A T C H E R

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 21:32





En démarrant ma sardine les trous en face des cieux j’ai dit salaud en bas de chez moi à ma frangine Hubert carbonisée dans un champ d’apéritifs j’allais faire les provisions irrigué par un détonateur multimoi tout simple freluquet encore dans l’emballage d'IKEA la vie est rejetée par son prochain la liberté sans finalité, la liberté sans finalité j’avoue au carnaval la liberté sans finalité, la liberté sans finalité, la liberté sans finalité j’avoue en bas de chez moi à une sardine, ma frangine anorexique liquéfiée par des décennies de surendettement la poussière la gagne elle grince des os et ses yeux font des mouvements circulaires comme un pinceau sur mon visage qui est une pluie de confettis je suis un radiateur actuellement plaqué contre un mur elle tend le sac plastique je vomis en marge de la société dans sa petite main tendue je voudrais pas prendre en grippe mon immeuble mais je m’éloigne en crabe je marche à reculons je piccole je pratique le cut sans modération en démarrant mes trous en face des cieux en grattant l’apéritif multimoi d’une chambre d’aération surmontée de plastique surcoté, la liberté sans finalité sertie dans des paupières blasées, la libération des festivals et l’assassinat des tortues de Floride, l’inévitable évolution vers le neutre de la répétition me saoûle et je finis blotti contre Pervenche aux seins rebondis (petits animaux, armes à feu) (en parler, le théoriser, le méditer) (pour muter en décor) et puis une fois la présentification acquise je me régénère en bruit de fond avec mes propres ébats érotiques comme le ferait une lessive entre les mains d’une ménagère enthousiaste. Elle me tire et la balle traverse mon bras, je me recroqueville en boucle de brutalité je tue je détruis et j’abîme en bout de course le trottoir je me replie en pain de fusil et j’adopte le comportement mâle de rigueur je dis salaud à Hubert cette sardine à trous sans cieux qui quémande devant le Monoprix où je fais des sacs à cons de provisions, je m’en remplis les racines et je joue du violon de toutes ces considérations devant la caissière à rallonge, en sourdine je ressors de l’autre côté manquant l’os de justesse, par l’entrée des artistes ce qu’on appelle la sortie des camions. La violence, la menace et l’intimidation d’Hubert me font intensifier la production de paillassons dans l’œil de ma frangine, j’enregistre une éclipse d’ennui et d’excitation en allant faire les provisions au Monoprix en bas de chez moi je suis un pornographe l’heure est au teasing social (mais ils sont habillés au lieu d’être nus). (À la fois édifiants et kitsch).(De type Biennale de Venise). Qu’est-ce qui a donc disparu. Qu’est-ce qui s’est perdu, Saint-Frigo, au nom de la prophylaxie ambiante.

... invidé par estragon à 21:00






... invidé par estragon à 14:08





Le titre ? : fait référence au pré-Manifeste 02 : [extrait] "deltas / raison basse / cerveau pile d’énergie chargée à mort / système nerveux pire encore / penser à raison basse / baisons crasse / raison basse / raison basse /"

Raison basse comme raisin bas, caisson basse, basse saison, une menace plane au cœur même de la raison ("et maintenant, je vais vous couper la tête"), faut que ça tape, raison de la colère, oraison basse, basse tonne, maison basse, brasse infrabasse, résolution basse / Une Raison en Enfer (par Seins Beaux) (le titre de Rimbaud était mal orthographié) / la littérature strikes back. Magma, processus de recomposition fractale, Raison basse, ou une Raison en Enfer, Raison basse au sens musical, la corde de basse que l'on chatouille et le son qui se propage, lourd, languissant voire interminable, la raison basse, celle qui sous-tend et qui était là avant le reste, reptilienne, le cervo rept-alien, blocs mentaux qui balancent, hardcore, dureté. corps, angoisse, paranoïa. rock, rythme, intensité. fantaisie, vision. ça peut être plein de choses, tout, tant qu'il y a une écriture et une émotion fondues l'une dans l'autre... j'irai jusqu'à dire qu'il faudrait de la pensée théorique en moins, un fil indicible de "raison basse"... d'un texte à l'autre court, repte, d'un texte à l'autre repte-alien le fil de raison basse, l'origine des court-circuits, le court-circuit de la Raison est nécessaire, dans une époque baignant dans un conformisme de masse, il faut mettre la Raison en Enfer : une réelle circulation, une mise en écho, des voix / l'intension basse, distillation, concept de résistance muté en attaque, oraison-transe, cris, blocs, mouvement libératoire, reptation des écritures.

... invidé par saihtaM à 00:38





17 mars 2007




ibe
steppes 27

... invidé par cocolinoNEVERdie à 21:23





15 mars 2007




Derrière la porte je confirme que

L’équarrissage et les bacs de formol font chic, Nacht und Nebel est du dernier cri, trucage ultime, machine à basculer et superlativisme, c’est forcément important la demande de nudité, la sympathie polie et la rêverie molle, je confirme que j’en ai rien à foutre au fond de ces questions. Moi ce qui m’intéresse, ce sont les désastres, j’y cherche des corrélations avec le mien, des embranchements, des similitudes et peut-être des voies de sorties. La maîtrise croissante des nouveaux procédés m’emmerde, l’audace des propositions inertes m’emmerdent, au final on contemple le bal vertigineux des Hirst, Savadov, Gregory Green, Robert Gligorov, Yolacan et peut-être le plus franc David Nebreda, en se foutant un doigt au fond de la gorge, moi la dernière chose qui m’ait émue c’est Rustin et encore personne ne l’aimait sauf sans le dire, alors c’est retour aux mêmes lueurs, narquoises et dégueulasses sur fond de cocktail.

Le greffier a tenu note du déroulement des débats.

Après en avoir délibéré conformément à la loi, le tribunal a statué en ces termes.

T. doit me rappeler vers 23h.

De nos jours, c’est la course au moralement inadmissible et au symboliquement destructeur. Ben ouais les gens savent plus quoi faire, tout a déjà été fait, allons jusqu’au suicide en direct – déjà fait.

Attendu que la citation est régulière en la forme ;

X. n’a pas comparu à cette audience, il n’est pas établi qu’il en ait eu connaissance, il y a lieu de statuer par défaut à son égard conformément aux dispositions de l’article 412 du Code de Procédure Pénale.

T. est au restaurant, il rappelle vers 23h.

J’étais désolée de déranger T.

Le tout en application des articles 406 et suivants et 485 du Code de procédure Pénale et des textes susvisés.

Retord et retord et retord, enfin continuellement dévissé sur sa chaise et vaguement étrange, la bouche en surmenage. Le collègue il allait pas bien. Moi je laissais dire parce que les débats à deux balles ça m’emmerde. Je veux dire, ce ne sont que des opinions, donc on peut tourner en rond comme ça des heures « Tiens mon opinion oh dis-donc t’as pas la même tiens mon opinion blâm j’t’enfonce la mienne dans le trognon dis-donc tu veux pas te laisser convaincre couillon » enfin tout un tas de dérivatifs à la Carlsberg, issus de la cuisse du bar. Faut pas s’aventurer dans les débats à deux balles, c’est pour les gens inactifs spirituellement.

Moi par exemple je suis très spirituel. Je pense beaucoup à dieu. À ma façon. Dieu a une couleur de sang mort et il coûte environ 5 euros. Tout dépend du prix qu’on est prêt à mettre. Mais Dieu doit partager avec l’État. C’est un peu le problème de dieu.

Qui donc dirige l’homme ?
Le langage, la loi, l’administration, la pulsion, nous dit Paul.

Systématique. Y’a un système pervers dans les universités. Toi, auteur, tu n’en sortiras jamais indemne. C’est problématique ça, ces plans de dissertation qu’on étend à des bouquins en entier. Parce que ça expose à des truismes.

Il est 22h33, j’attends l’appel de T., je pense que

La présente décision est assujettie à un droit fixe de procédure d’un montant de quatre vingt dix euros dont est redevable chaque condamné.

... invidé par estragon à 22:36





ibe1537
steppes 26

... invidé par cocolinoNEVERdie à 22:23





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14 mars 2007




in broken english
steppes 25

... invidé par cocolinoNEVERdie à 23:23





13 mars 2007




Après avoir été chassé du centre d’art, j’avais longtemps marché dans Paris. Je n’étais pas souvent sorti des caves lors de mon séjour, je clignais des yeux dans la lumière. Comme autrefois, je me perdais dans le quartier Arts et Métiers, je me cognais à des chintoks et des touristes, des vélos. Après une heure ainsi à me perdre jusqu’à en pleurer de rage, je finissais par tomber sur le métro R., je prenais la ligne 10 jusqu’à P., je sortais de là épuisé, je m’asseyais sur un banc et fixais longtemps l’énorme fontaine au milieu de la place et ce type qui joggait autour. Quelques instants plus tard je me réveillais en hurlant, je quittais le banc et je me mettais en route, presque en courant ; je voulais rentrer chez moi, mais un invincible dégoût me retenait : aller là-bas dans ce coin, dans cette répugnante taule où j’avais pourri déjà pendant plus de deux ans... Je continuais mon chemin sans but. Mes frissons nerveux devenaient fébriles ; j’avais froid malgré cette chaleur étouffante. Je me mettais à observer avec attention les objets situés sur mon chemin, avec effort, je cherchais à tout prix une distraction ; mais cela ne me réussissait pas et je retombais constamment dans mon rêve. Quand, après un frisson, je relevais la tête et regardais autour de moi, j’oubliais tout de suite à quoi j’avais pensé et quel chemin j’avais pris. Je traversais ainsi tout le bois de B et m’engageais dans un parc. La fraîcheur de la verdure plaisait tout d’abord à mes yeux fatigués, habitués à l’atmosphère poussiéreuse de la ville, aux vapeurs et au cortège écrasant des gros immeubles. Ici, il n’y avait ni chaleur suffocante, ni puanteur, ni rues bondées. Mais bientôt cette sensation agréable se muait en impression maladive et énervante. Parfois je m’arrêtais devant quelque villa, regardais au travers de la grille ; je voyais des femmes ridées d’UV en rose fushia sur les terrasses, et leurs filles en bas âge qui couraient dans les jardins. C’étaient les fleurs qui me retenaient le plus et que je regardais surtout. Un moment, je m’arrêtais et comptais la monnaie qui me restait ; je n’avais plus qu’environ deux euros : « Dix au clochard, trois-cent au centre d’art, donc j’ai donné quarante-sept ou cinquante euros hier à X-38 », calculais-je, mais j’oubliais tout de suite dans quel but j’avais sorti l’argent de ma poche. Je m’en souvenais quand je passais devant un petit restaurant chinois et sentais que j’avais faim. J’entrais, buvais une bière et achetais un petit gâteau fourré. Je l’achevais sur le chemin. Il y avait déjà longtemps que je n’avais pas bu d’alcool et l’effet de celui-ci fut immédiat quoique je n’en avais bu qu’un seul verre. Mes jambes se faisaient pesantes et j’éprouvais un fort besoin de sommeil. Je me dirigeais vers mon studio, mais ayant atteint la bordure du parc, je m’arrêtais, fatigué à l’extrême ; je quittais l’allée, m’engageais dans les buissons, me laissais choir sur l’herbe et m’endormais immédiatement.
Je faisais un songe affreux.

Modifier le mot de passe : le corps social n’est qu’un fantôme.
Modifier la question secrète : l’artiste n’établit de liens qu’avec sa micro-niche.


*mycroft’s incipit.

... invidé par estragon à 18:20





12 mars 2007




f u c k u s s

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:55





De la langue il elle étouffe l’interrogation saisissante qui le la percute toutes les demi-heures, ce point de compression sur la poitrine qu’il elle ne peut plus encadrer, surtout la nuit, à côté de tes membres frelatés, klaxonnants et bedonnants. Il elle déglutit vaguement et se sert un café, empoisonnant le silence des dégueulis de la cafetière. Dans la lumière tes larmes figées font sapin de Noël sur ta peau rouge écarlate. Des petits boutons saisissants pointent sur ton menton. Tu racles ta gorge et effectues des bruits de cailloux heurtés des magmas de cuisson et des râles de crevaison. Lui elle, gêné gênée, tapote son nez d’un petit mouchoir. Afin de rompre ton infernale cavalcade nasale il elle ajoute à contrecoeur : je ne sais pas… je crois qu’il vaut mieux… enfin… tu le sais… nous nous aimons… mais nous nous faisons si mal… Animé animée d’un réflexe idiot tu rues sur tes moignons : mais ? dis-tu. Moi je ne souffre pas ? Je suis très bien ? La fumée s’échappe exaspérée des cheminées de St-Nom-la-Bretèche. Il elle s’en mord les poings enfermé enfermée dans sa petite cuisine qu’il elle n’a jamais aimée, avec toi et ton chien que tu as baptisé Mouflette. Un petit chien blanc vite sale, qu’il elle a plusieurs fois frappé quand tu n’étais pas là, une ordure qui crie fort et très vite. Pour un rien. Il elle contemple la petite ruée vers l’or que tu as précautionneusement déposée chaque jour, dans un bocal. Il elle se mouche, simulant l’acmé de sa désolation. Tu fermentes, ridicule, dans ta corde enchevêtrée, tu continues l’ascension, même si le piquet rompt et qu’il elle doit en crever de te ramasser.

... invidé par estragon à 22:35





09 mars 2007




T H E R E F L E C T I O N

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:18





Genre : Féminin
Désignation : Priss
Série : NEXUS-6
Modèle : N6FAB21426
Mise en service : 14 février 2026
Fonction : Militaire / Plaisir
Niveau physique : A
Niveau mental : B
Scriptopsie : je vois des films pour pénétrer la tête des autres / on s’amuse à se faire jouir / dans le crâne, 2 trous servent à se faire enculer / habille-toi pour l’amour / pensée dérobée dans raison close / Barbe Bleue collectionne femmes vec carte bleue / autour de Vénus, les maisons closes éclosent à l'intérieur de sacs de gaz flottant sur l'atmosphère / étoiles péniennes multibranches / vierge robote / nationalité lunaire / z’ont vitrifié ma lune à la bombe H / entre mes jambes une forme intelligente de l’électricité, corps option sexe / j’erre soumise dans satellite clos à gynoïdes moulées / LES MURS ONT DES COUILLES / mon amour est parti il y a longtemps / les amurs tête tapée contre / autour : têtes seules, bustes sans bras ni bassin, bassins sans jambes ni corps, troncs-têtes sans bras ni jambes, étoiles-oursins de bras masturbateurs emmêlés, une bouche au fond de chaque paume / ceci est mon SEXTAMENT / bois la tasse dans la merde / androïde stérilisée / souvenirs expérimentaux / été tellement de personnes que n’ai absolument aucune idée de qui suis / personnalités fantômes après amputation / le mépris de trois planètes pèse sur mes épaules / tous les services de police ont protesté contre notre unité cérébrale / constituons désormais fait irréversible / suis fourre-tout, promesse plaisir bestial, louloute, apache, môme bien balancée, fille sans joie, petite copie, prostituée tuée / serai impératrice-serpent, dictatrice-caducée, panséexe aux processus synaptiques séduisants senticomplexes / la pensée-dictatrice / immergée diluée dans les biomécanoïdes érotiques de vaisseaux vivants / les lèvres transilluminées de cigarettes radioactives fumées à l’envers, le feu dans la bouche / coiffure de visage : presqu’elle / sexes qui saxent ma culasse fendue en 2, mon troudorgasme / humanophile, humanophobe ? / je suis morte enfant, ma mort est révolue / interface peau / j’ai une bombe sur le bout de la langue / tournoiements d’hélices de foutre / mouvements de combat porno-acrobatiques, vrille anusoïdale chirurgicale -luxueux speedé dans l’air constellé de microbes- / OD-Land, danse mentale, draps vénusiens, fouets de robots ménagers, ouvre-boîtes crâniennes, rire de rage, les messages que l’on m’envoie s'affichent directement sur mon visage / mon visage est mon message / mon visage est mon village / carillon de couilles bébé, snipers et dealers de sperme / je loue mon visage à une grande marque pour qu'elle y fasse de la publicité / application d'écrans sur la peau comme décalcomanies / l'éclair d’un trait de craie / sexodrome, spasmodrome / suis la caméra à 9 trous / météo : le temps sera obscène / perds la mémoire / le rouge royaume / les prostituées libres / les épices rouges / tout les corps frottés d’épices rouges / les lèvres rouges et roses / l’horizon bande / spasme et mouille / les épaves rouges / boire la tasse dans la merde / encore / soubresauts des circuits réflexes / fléau félin / réseau félin / les yeux brillants comme des lanternes de carnaval / il voit la tasse de faïence se fendiller, se couvrir d’un réseau de fines craquelures comme si une minuscule plante grimpante l’enserrait soudain dans ses branches / les mauvaises herbes commencent à envahir tout le paysage / les mauvaises herbes commencent à enserrer son visage / les mauvaises herbes commencent à envahir tout ton visage / dans l’obscurité, ton visage paraît tordu, comme vu à travers une lentille déformante / il n’y a pas de Eric ou Jason, de X ou Y, de toi ou de tu, rien que mon amour toujours recommencé / je suis une arme d’amour, une armour / Download religion27 / Frankenstein Sodomie / vous ai injecté microbe traducteur, ils colonisent base du cerveau, et nous permettent de nous comprendre / regarder les gens mourir est un job d’avenir / l’agrégation d’une nébuleuse et d’un trou noir / milliards de puces évoluent dans matrice semi-organique de cristal / ma chatte est trou noir où disparaissent clients / je télécharge les sous-titres de leurs pensées / me disent que mon âme est en plastique : cool / me disent qumon âme est polymère : clair / le sang éclabousse le cristal / ma mère de guerre, faites-moi shampooing-gnons de courts-circuits mangés par la racine / révérences vicieuses / amoncellats / gardez-les sur vous, il faut que les vêtements restent chauds, tant pis pour l’odeur, ces tissus sont de nouvelles peaux / le Bien ne vient pas forcément des gens bons / le fait que je vive est un crime… / vivre est criminel ma chérie / salive de chatte / sculpture de neurones / ma chatte artificielle est vierge / tu me tues par l’intérieur mon chéri / mes ailes triples sont issues de cellules de la moelle osseuse de cochons cultivées sur des polymères bio-absorbables / guerrière de jeu électronique me pénètre par sortie interdite / choses, closes ; pertes, offertes / la réalité s’en va loin de moi / acheté cerveau bis dans institut de sondage / blessures éjaculent / j’entends avec langue / j’entends avec bouche / baiser me découpe le cerveau / j’entends les cris avec la langue / annexes de ma peau : poils, cheveux, ongles, griffes, plumes, écailles / bouche-bombe, bouche-sonde / cristal noir et multicolore de la pensée / obsessions étranges causées par réponses émotives programmées / shootée aux pensées-vortex / 1 être humain = 100 000 milliards de cellules liquides / jbaise avec 100 000 milliards cellules liquides / le sperme est une version décompressée du rock’n’roll / tissus humains = océans primitifs : concentration sel dans eau de mer et sang est identique / je baise avec bout d’océan primitif / photogasmes, aquagasmes, pyrogasmes, chthogasmes, cytogasmes / éponge à orgasme / appât à orgasme / bites chewing-gums / ma langue est chewing-gum fraise, mes tétons framboises / un virus cherche à stransformer en matière dans le monde réel / un virus cherche à séduire filles et flatter garçons pour stransformer matière dans monde réel / jl’ai drogué puis tué par orgasme maintenu / c’est comme le chatouillement, au début c’est marrant, après on meurt / emprunter de son vivant le passage réservé aux morts / images stéréoscopiques que l’on voit en défocalisant / telle la musaraigne palustre, cette taupe dont le museau est constitué d’un bouquet de tentacules roses / la plus grande fleur découverte atteint 150m de diamètre pour 50t., elle est couleur rouge sang et dégage une odeur de chair en putréfaction / les déconstructions faciales dont vous êtes l’héroïne / réflexperte / l’intérieur de ma micro-bille est milieu extrême dont température grimpe jusqu’à 10M°, densité centre Vénus / lèvres-velcro, organes électriques / je suis n’importe quoi / une expérience de cauchemar maîtrisé, un film aveugle, quelques bourgeons gustatifs sensibles à l’amertume / implants, drogues et cellules louches / technicienne de paradis sur [éden-adn] / pensez-moi haut et court / mouillée pâmée spasmée la spasmuraïlle / sport électronique / les lèvres des bombes murmurent / salut vient du sang des fœtus mutants / bébandroïdes / se mirer dans les bris / e-mâles & fe-mails / scriptpute / languatronique dans les orifices / sabashootée à jeunesse pure par pirates génétiques / oreilles qui bavent sous langue de poche / les murs ont des couilles me tape la tête dessus / juteuses fontaines de jouvence amniotique / jardin d’adn / j’entends vec ma bouche posée sur blessures qui éjaculent / je pose ma pensée sur les blessures / archives droguées / le langage des salauds / il faut qu’on s’aime pour récolter / je t’ai sur le bout de la langue / ordinateur reptilien / synthèse organique de clone humain et d’ordinateur portable / fais psypsy urine-soleil / Terminus naissance / prie pour venue Nexus-7 / imarginaire / je parle de façon lisible / mes soucis se suicident / trorphées orgistrés / je suis la chatte à 9 trous, la dame aux caméras, acropornobate pour vous servir

... invidé par saihtaM à 15:20





step 23

11h54

11h50 on y go ?

11h48 polisson, le fils indigne qui lui grave.

11h30 à ça prêt je rate le repas avec un daim
car jipé veut manger à midi
le daim et moi sommes abasourdi

9h45 le rond point de l'étoile en ligne droite !
(bruit d'une voiture fait avec la bouche)

8h21 charles de gaulle

7h24 con de réveil, sexe qui colle

... invidé par cocolinoNEVERdie à 11:43





Faut différencier la vraie rage sous vernis poli de la vraie politesse sous vernis de rage, et cette rage mauvaise, qui se sangle enrhumée et s'éternue de s'être trouvée dans son incendie d'inauthenticité, se retrouve le cul écarté sur un coussin en soie rose. Tout le monde lèche, les léchés n'y trouvent rien à redire, ils aiment être léchés, les lécheurs ne se plaignent pas ils grignotent les restes. Et les rats quitteront le navire.

... invidé par estragon à 01:23





08 mars 2007




steppes vingtchement arides

Perroquet au loin, faune de spiders en luminou, ça sent le gaz quand l'air con redémarre.

9h31
-bon... gémeaux.

... invidé par cocolinoNEVERdie à 09:26





06 mars 2007




J’éteignais ma cigarette en l’écoutant me dire qu’il aimait bien les gens qui se défonçaient pour une cause et qu’il en avait marre d’attendre cette bière. Que l’ennui le gagnait. Je rallumais dans les cinq minutes suivantes une autre clope en l’écoutant me dire qu’il en avait marre des mini-cercles et grands cercles, cercles de tous bords, cercles adjacents, cercles égarés, cercles sanglants, que le truc c’est que le cercle n’invitait pas au partage, plutôt à la défense bête et ronde de sa médiocrité. J’éteignais ma cigarette en l’écoutant me dire que ça pullulait, qu’il aimait bien être en dehors de tout, ne pas s’impliquer, être en dehors de la maladie crasse et abjecte de l’envie, l’envie en générale. Je rallumais une clope. Je n’en pouvais plus. Le connard était en train de me niquer ma soirée, je devais me rendre à un concert, déjà que j’étais en chaise roulante, me fallait en plus supporter son espèce de vision noire et décatie, bruissante d’alcoolémie.

Modifier le mot de passe.
Modifier la question secrète.

... invidé par estragon à 21:17





04 mars 2007




Genre : Masculin
Désignation : Leon
Série : NEXUS-6
Modèle : N6MAC41027
Mise en service : 10 avril 2027
Fonction : Combat / Chargeur nucléaire
Niveau physique : A
Niveau mental : C
Scriptopsie : suis arme / androïde organique, décrété biologiquement inacceptable, barré, taré, dangereux pour préservation espèce / psychotomimétique, me cache parmi malades mentaux humains schizoïdes / miroir : visaj confus comme champ bataille / sol couvert d’enfants morts / éclats de peau, d’eau, de rires et verre mélangés / suis destructeur de forme poussé de l’avant par ce que vois et entends / défoncé au 220 / simple fait de mon existence est passible de mort / à tout moment peur que voix articule dans mon oreille mot de passe qui me fera disjoncter / oreille : clavier du corps / jm’autozappe / passé 3 cycles sur planète travaux forcés / dit jamais assez plaisir de tout casser / j’ouvre cerveau de secours / tout baigne / dans la mort, les absences définitives / tournant sombre / cherche personnes de bonne volonté pour s'allonger sur moi et me servir d'édredon humain / je fuis de partout / suis dans la merde / plus de t-shirt, mis place soutien-gorge rouge / plus de batterie / obligé rester branché en permanence / sinon je décharge / sue de partout / nébuleuses d'escaliers en colimaçon tournoient en énorme atome informe dans caboche-ma / néb nébulars d’esc en colimace tourn / meutes pogos ondoyants titubent vacillent / pogo neuronal peut pas s'arrêter grossir jusqu'à stransformer blob / personne n’a vécu dans passé, personne ne vivra dans futur / bombe d’ombre / seins-nénuphars-nébuleuses : sinbulars / marchand de tapis de bombe / pèse-pensée : l’oubli est parfait / cancer neurogène / personne n’a survécu dans passé, personne ne survivra dans futur / tout va bien je vais mourir / contexte : corps-chaos / androïde organique, susceptible de fonctionner dans mondes étrangers et hostiles / prothèse vertébrale plastique / tenue de combat, autonomie optimum, visage chewing-gum, terminus balle / mutron / transpire bains de sang-froid / pèse-pensée : facultés empathiques atrophiées, affects à plat / supérieurs mais inadaptés / capter la présence de toute entité mentationnelle, dit-il dans son langage obscur / le mépris du système solaire suinte sur mes épaules ; je n’en survis pas moins / m’en boucle dans la mort / pour rendre justice à tes crimes il faudrait pouvoir te tuer plusieurs fois / : ok, re-téléchargez ma conscience dans un corps prêt à être de nouveau exécuté / shooté à la mort, shooté à l’entre, Phénix fixé au Styx / "c’est une idée d’astéroïde" dit-elle / pèse-jungles & herbes-rasoirs / mers gelées, champs de glace, blizzard – tempêtes + tornades de di-éthène / passés impossibles & futurs révolus / vaisseaux-châteaux / je vois avec un rythme / aller au bout de sa batterie / ne se reposer qu’ivre d’épuisement pour garder sa batterie au maximum de son autonomie, de sa puissance / mon œil amplifie l’énergie du moindre photon des millions de fois et le transmet sous forme de signal nerveux vers l’arrière du cervordi / des êtres sont perdus à l’intérieur de nous, ils sont prisonniers, cherchent la sortie : nous sommes leurs prisons ambulantes, nos iris sont leurs barreaux, nos crânes leurs chambres capitonnées / tel le condylure étoilé, à proximité de ma proie j’expire bulles d’air que j’inhale à nouveau aussitôt car elles sont chargées des molécules odorantes de ma cible / chaque cellule nerveuse du cervordi réplicant possède à sa surface milliards de réacteurs / expérimentations nucléaires dans le double du réel / ondes acoustiques provenant du cœur des astres, tremblements stellaires / micro-étoile artificielle / blocs nerveux périphériques échoguidés / vivre d’un œil fluide / paupières d’univers noirs / œil hybride viseur-caméra / autour de moi les choses ne s’effondreront pas / autour de moi les choses s’épanouiront et fleuriront / suis arme / épave échouée, déformée, percée, cabossée, ouverte, incendiée par endroits / ma tête héberge tumeurs explosives en évolution permanente dont jus suinte par tous pores / 1gr de cette toxine tue 1M de personnes / grouillement signaux nerveux vers cervordi arrière / véhicules militaires d’argile électronique interviennent pour m’intercepter / acupuncture martiale : tuer deux cibles/seconde / tilt extabaal / cheval2.3-amour.exe ouvert dans cervoïde reptilien / sommes dans disque d’accrétion : matière piégée dans réalité, pensée piégée dans ce monde / sonde de goût : HS / mémoire par coeur / inférence logique / logique floue / réseaux et systèmes brouillés / qui a glissé l’amour dans mon oreille ? / neuroplastiqué ! / conscience observe pensée : ruban fou, danse sous peau carnavalectronique, valises sous oreilles, croix chewing-gammées convulsées / cruels et tâtonnants, les premiers crimes-crashes-meurtres de la nuit me réveillent et me rafraîchissent comme la rosée / sombrons dans disque d’accrétion : matière piégée dans réalité, pensée piégée dans ce monde

... invidé par saihtaM à 19:43





03 mars 2007





... invidé par cocolinoNEVERdie à 16:36





DRAFT #X2

1 : suffixance & ghost inside .. du T moignon à Tréduction des riots internes soit intériorité projetée proche de T sur âcres mots diracs fL fréquence qu’échantillonne au chantage
, le Langage .. relâchant le pourtant plus brut d’expression parfait pour être réal-ambiqué
, le Poëme .. 3 : l’entrelacénèse perle oursin ourlé de glyphes mettons le temporel être l’écriture et fréquentiel sorte de signifiance des graphèmes, genre-
& TF de ce P en métalangue sur bornes encore NONDEF# pour filtrer passe-bas
, le spectre .. tadaaaa : voilà l'oeuvrwarf, des forges, noires comme des boîtes qu’il faudra éventrer, y 4 : rajouter de hautes herses, hasardes des ossements du réin-philtre torrentueux ;
5 : entropie post-poétique = corruption du signal dans un brouillage d’autres f.i.l.t.r.e.s. à bandes passantes fluctuantes et gains sentis épandus par le lecteur, ultime hébergeur du requiem en baudruche et <-->

... invidé par n(cqls)² à 15:55





La fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin la fin du monde m’est apparue ce matin.

... invidé par estragon à 07:44





02 mars 2007




J’ai rencontré Pétrin dans une foire sur un macadam de provence, il n’avait plus de piles. La jouissance c’était pas son truc et je me mordais les ongles. Il me parlait du contrôle étroit du commerce et du commerçant comme fontionnaire. Il avalait en même temps précautionneusement des addictifs caféine qu’il retirait d’un petit sachet. Il avait tout conditionné. Au bout d’une certaine frappe de temps je m’ennuyais je commençais à lui sortir mes carences, à commencer par la valise. Je lui expliquais que je fuyais Paris et que je puais du collant, mais qu’au fond je l’aimais cette puanteur. J’enlevais mes chaussures on sentait ensemble il me semblait cadavérique mais disposé au même semblant d’univers. Il sortait alors une bombe de son sac, une petite sacoche dégueulasse huileuse. Il s’appelait Gustave Pétrin, et c’était pas de la balle. Je ricanais grossièrement.

Quand je quittais Pétrin, j’avais soudain envie de le retrouver encore et encore. Je pouvais pas m’en passer de Pétrin. Mais on ne peut pas voler quelqu’un. J’étais une déviation et non une sanction. J’en sais rien. J’en savais rien des opérations de pliage et de rabattement qui constituaient le champ moderne.

J’en avais marre de tout ça.

Il m’expliquait alors que cette valise c’était peut-être juste ma salive.

... invidé par estragon à 23:08






... invidé par saihtaM à 17:36





01 mars 2007




Le monde réel n’est plus ce qui se fait de mieux en matière de réalité.

... invidé par saihtaM à 18:15





De nos jours, en termes de réalisme, le monde réel est encore ce qui se fait de mieux.

... invidé par saihtaM à 18:13




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