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02 septembre 2007




la fièvre est mondiale

vous étiez couvert de striures et des béances. Les méandres de vos viscères rejoignent vos lignes de main. Votre envol est architectural. Toutes les anaérobioses de vos cellules devenant oxygène du nui humain, d’un cri encre. Vous saisiriez les munificences. Ce n’est qu’un instant de regard mais vous avez cessé de vivre. C’est de votre matière, c’est de votre peau que l’on peindra. Tout est en place. Vous gagnerez. Purative manne saccage schéol dans une exaction de sable, dans ce déjet que vous avez fait un jour, depuis ce seul trait de milliers de jours, de sueur pleuvant sur le regard. Le tumulte du sixième sens, renaissant dans le near. La tectonique du prisme l’emblème vers l’état de la géode, puis vers celui du cercle ; les parfums endocarpes vont plus rapide que la main à tracer les angles d'antiennes paraboles renées. La fièvre est mondiale, de timides coups du coeur en suintements frôlants qui retrouvent telle forme antérieure insûe. ça le doit tel qu’en nous deux, la vie et l’art à l’être de travail ; Main à relayer le galop rumeurial de la rue de ses propres cellules, à la main. Papilles de pores prennent brique rouge mat du dix-neuvième arrondissement. Les nerfs entre sable et plongé se
nourrir de sa force justicière, jusqu’à boire, longtemps, à sa source finie de cri sans mort, et rester invincibles.

... invidé par Ferrehus à 15:12




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