(...) qui contribuerait à son bon équilibre affectif et mental avec de saines distractions, à passer devant tant de géraniums et d’hortensias qu’il respirerait l’honnêteté élevant son niveau intellectuel à une distraction de caractère artistique. À noter tout de même qu’Allerton devrait faire très attention à ne pas rester debout quand il aurait de l’albumine, possédé de ses solitudes, exagéré de ses heures d’ennui.
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Je travaille dans des tribunaux populaires la faim me dérange je me rends dans des guerres situées non loin de chez moi, je souffle sur les sans-papiers la queue harlequin des végétatifs sans coussins qui mordent les lampadaires et les pieds des chiens je voulais être autrefois un élément naturel qui ne vit pas pour lui-même.
(Cadavérique il se rend dans une galerie située non loin de la rue des Vertus. Il a rendez-vous là, pour organiser sa prochaine exposition. Il entre dans la galerie. La fille ne semble plus si sympathique. Elle sautille avec des ordures dans les yeux.)