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30 septembre 2007




never:it:ends


... invidé par n(cqls)² à 17:29





29 septembre 2007




le soir, en quittant les lieux, mon portable me signala un message sur le répondeur. l’appel avait dû survenir alors que j’étais dans l’ascenseur. je ne reconnus pas la voix du type. d’autant plus qu’elle était hachée par une mauvaise connexion au réseau. il prononça son nom, ainsi que celui de la probable société à laquelle il appartenait, mais j’y bitai que dalle. je compris seulement qu’il prétendait que quelqu’un de « ma » société avait essayé de le contacter. et qu’il réessaierait ultérieurement.

le lendemain, une sorte de mercredi, je suis allé chier plus tôt que d’ordinaire. je voulais en avoir le cœur net alors j’ai demandé à mes intestins de faire le nécessaire.

... invidé par n(cqls)² à 21:26





28 septembre 2007




death


... invidé par [g-Cl4RENKO] à 22:19





drawn 4: Veri Yend

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... invidé par cocolinoNEVERdie à 21:25





drone 3


... invidé par cocolinoNEVERdie à 12:43





24 septembre 2007





Libellés :


... invidé par Ssoloeil à 21:27





23 septembre 2007




drawn 2 (on retire au retrait)




... invidé par cocolinoNEVERdie à 15:19





20 septembre 2007




drone_1


... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:03





15 septembre 2007




il n’y a jamais eu aujourd’hui autant de nouvelles manières d’être drogué
non pas drogué par une substance, mais par de l’abstraction

comment augmenter la vitesse de lecture ?

Vend cinquantaine de trisomiques 21, à livrer par bateau depuis la Malaisie.

La puissance du processeur peut ainsi être caractérisée par le nombre d'instructions qu'il est capable de traiter par seconde.
L'unité utilisée est le MIPS (Millions d'Instructions Par Seconde).

Modifier les probabilités de survenue d'un événement.

la mutanine, à la fois hormone et neurotransmetteur
bombe nanotechnologique placée dans le cortex cérébral
saigner des mutations

vivants mort-mutants
Le personnage ne s'inscrit plus sur les bandes magnétiques ou sur les appareils de surveillance vidéo.Tout ce qu'il écrit/dessine devient réél. Il peut ouvrir des brèches, blesser, emmurer, immobiliser, etc. les personnes situées dans la scène.

Vous pourrez créer une multitude de personnages différents avec les 216 pouvoirs mis à disposition.
(le kit on-line du M.)

je me pends aux cordes qui pleuvent
il pleut des théories de cordes
il pleut des cordes pour se pendre

The pigs have won tonight
Qu’est-ce qui fait la grandeur d’une nation ? Que serait la France, sans ses artistes, ses poètes, ses écrivains, ses penseurs, ses glandeurs, ses créateurs, ses scientifiques et ses rêveurs (les rêveurs, surtout) ?
Sans eux, la France ne serait, au regard de l’Histoire, qu’un pays de flics, de sbires, d’usuriers, d’épiciers, et de va-t-en-guerre impérialistes.

La femme de 42 ans conduisant, allongée, son "brancard motorisé" en maniant des commandes avec son menton et la bouche, roulait "à une vitesse considérable" sur une voie rapide reliant Ferrol à As Pontes, a affirmé le quotidien.
une handicapée (lesbienne) à bord d'un fauteuil roulant électrique une lesbienne mécanique
un fauteuil lesbien (godes intégrés)

« qui rêve mieux de liberté que celui qui vit esclave ? »

la non-consommation est taboue

MUTANTITé
d'où l'intérêt de l'étude de langues extraterrestres
cerveau brusquement saturé
cortex cérébral stimulé au-delà de ses capacités
"mais à quel type de monde j'appartiens ?"

être sale, mais de façon très nette, très propre, très polie.

instrhumain(s)
biomaîtrisés / bioméprisés

social suicide (and impress cocktail party guests)

Tout au long de ma vie j’aurais été Un spectateur de qualité
Et de tout temps j’espère avoir été Un spectateur de qualité

Are you sure you want to cancel the uninstall ?
Etes-vous sûr de vouloir annuler la désinstallation ?

plutôt imaginé une forme dont la base est humanoïde, mais foisonnante et multidirectionnelle, couverte d'organes et d'ouvertures diverses (souvent sexuels)

nous sommes les soldats perdus d’armées dissoutes

"quand on est riche, on n'est pas fou. on est excentrique."

The repousseur : "I'm an aging punk rocker, seeking liberation, solitude, and spiritual freedom from a society of salesmen, advertisers and consumers."

étudiante à Sciences-Porno
cherche fauteuil lesbien

- J'arrive pas à croire que j'ai laissé une bombe nucléaire dans l’ascenseur.
- C'est pas grave. T’as fait pire.

... invidé par saihtaM à 19:12





/ Alien |


... invidé par [g-Cl4RENKO] à 01:01





14 septembre 2007








... invidé par Ssoloeil à 12:11





13 septembre 2007





... invidé par [g-Cl4RENKO] à 19:32





07 septembre 2007




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... invidé par cocolinoNEVERdie à 13:09





05 septembre 2007





... invidé par [g-Cl4RENKO] à 11:31





03 septembre 2007




Je sentis ma bouche sécher. Brusquement je restai une seconde à l’admirer. Vous le mettrez sur ma note. Et puis il se leva, il disparut un temps. Il revint ensuite, un journal en forme de coquillage, pincé entre ses ongles blancs. J’avais les épaules tombantes. Je me redressais un petit peu, en m’ennuyant un petit peu. Je ne pourrai pas payer la bière.
— Vous n’êtes pas chanteur ? (il avait sûrement une belle réputation).
— Non.
J’en avais assez de tous ces salauds. Les narines du type frémirent délicatement en direction de mes habits, il consentit finalement à poursuivre la conversation :
— Non, je ne suis pas chanteur. Je suis chef de file d’un mouvement d’avant-garde très connu actuellement. Vous savez, le… Enfin je suis sûr que vous voyez.
— Non ? ajouta-t-il, inquiet.
Comme je ne réagissais pas, absorbée par ma chope de bière et un petit moucheron (à vrai dire j’étais gênée), il m’avouait en une petite expiration rauque et brûlante :
— Le mouvement… Le mouvement de la Grande Mort Partagée.
Et puis il posa sa grosse tête dans sa main, et en soufflant la fumée de sa cigarette, se mit directement en relation avec les extra-terrestres dans le ciel. Son œil sauvagement ému resta un petit temps fixé sur les nuages.
— Je peux vous prendre une cigarette ?
J’allais peut-être pouvoir lui en soutirer quatre voire cinq, peut-être même me faire offrir ma bière, peut-être même… à manger. Peut-être plus encore.
— Et vous qui êtes vous ? Que faites-vous ?
Il y avait des bouts de viande accrochés ça et là dans ses pupilles éteintes. Tout au fond de sa boucherie, les spectres de l’avidité, de la plainte récréative, de la photographie publiée en ligne, de l’illusion à distance, de l’art lyrique classique, du trophée de l’assassin, de l’idiot lettriste, de l’orgasme défectueux, de l’incapacité sensitive, se marraient bien. Je devais la jouer serrer.

— Moi je suis une procédure d’épave rapide. Je ne me situe ni tout à fait dans la fiction, ni tout à fait dans le documentaire, les événements me broient et me tordent la figure.
Sa tête piriforme et volumineuse devint nettement plus jaune et odorante. Il sembla bouleversé, ou peut-être gêné, je n’en sais rien.
— Mais, que faites-vous enfin ?
— Oh… (j’hésitais un petit temps). Là pour le moment j’ai des ennuis 88-81.
— Mais… Le "documentaire"… La "fiction"… Vous écrivez ? Quelque-chose comme ça ?
J’ai senti que ça lui ferait plaisir un truc de ce genre et j’avais besoin d’une autre cigarette alors je rebondissais :
— Je… Pas exactement… Je… fume des cigarettes, je bois des bières, je pense à des histoires d’accidents et d’autos, à du Bourbon et de la pure et simple flotte, j’ai le cerveau lucide d’une femme de chambre et le facteur temps me semble être un chemin bordé d’arbres mal fichus, bref je peins, je dessine, enfin je fais des trucs comme ça. Et j’en ai pour quelques minutes ; d’ici un instant un homme va venir me retrouver sur cette plage et m’enlever pour toujours.
— CETTE… PLAGE ??
Je me détestais. C’était un vrai gâchis. Il allait falloir maintenant le rassurer. Je serrais les cuisses, mon papier-cul commençait à être inondé, j’avais des relents de hamsters et de chats morts dans la gorge.
Il se reprend :
— Vous êtes sûr que vous ne me connaissez pas ? Le Mouvement de la Grande Mort Partagée c’est pourtant très connu… On ne parle que de ça en ce moment !
— Hé bien, heu… Votre virage me dit quelque-chose.
Son visage se perd quelques minutes dans les voitures. Puis soudain semble la proie d’une vive douleur et grimace :
— J’ai un ami qui doit m’appeler… (Il sort son portable de sa poche et examine l’écran) Oh ! (triste) Si vous saviez… J’ai un ami qui doit m’appeler… Un journaliste. Vous connaissez SomniArt ? ça fait des mois que cet article doit sortir sur moi. Et je n’y comprends rien. Des querelles internes… Politiques je crois… Enfin (il soupire et referme son téléphone d’un petit claquement sec) enfin il n’est toujours pas sorti quoi (soupir).
On reste silencieux devant les BMW qui passent.
— Excusez-moi mais…
— Oui ?
— C’est très gênant.
— Mais allez-y voyons ?
— Des amis devaient m’accueillir à Paris… Et heu, un enterrement… Et… Enfin je n’ai nulle part où aller. (Je contracte mes glandes lacrymales). Enfin je suis vraiment dans la merde. Je n’ai pas mangé depuis… depuis…
— Oh c’est cool ! c’est cool ! Tu veux que je te commande un croque-monsieur ? Ou un croque-madame ? Garçon, vous pouvez nous apporter un croque-monsieur s’il-vous-plaît ?

À vingt-deux ans, je m’installais dans le cagibis volontairement délabré de Roland Nuche, un presque-écrivain contemporain chef de file de la Grande Mort Partagée. Je n’avais rien voulu lui dire de moi parce que j’en avais marre de tous ces salauds et qu’il fallait faire attention. Mais des trucs et des rires s’étaient échappés de ma gorge, sous l’influence de la Carlsberg. J’avais pas pu m’empêcher de balancer la purée aussi Roland Nuche désoeuvré soufflant fort sa fumée en fixant les étoiles et replaçant sa longue frange exprès sur ses yeux pour ne rien voir et présenter au monde les difficultés de sa chevelure et le mystère poignant de ses sourcils, avait fini par se pencher sur moi, imperceptiblement tout d’abord en chuchotant tard le soir dans des bars, puis tout à fait en me fourrant le double de ses clés dans la main.

... invidé par estragon à 18:16





ô toi !

ô toi Machin le Naze !

ô oui ô toi !

Grand machin !

ô !

YES !

YOU ARE THE ONE !

ô Machin !

ô yes.


(En outre).

... invidé par estragon à 17:01





02 septembre 2007




la fièvre est mondiale

vous étiez couvert de striures et des béances. Les méandres de vos viscères rejoignent vos lignes de main. Votre envol est architectural. Toutes les anaérobioses de vos cellules devenant oxygène du nui humain, d’un cri encre. Vous saisiriez les munificences. Ce n’est qu’un instant de regard mais vous avez cessé de vivre. C’est de votre matière, c’est de votre peau que l’on peindra. Tout est en place. Vous gagnerez. Purative manne saccage schéol dans une exaction de sable, dans ce déjet que vous avez fait un jour, depuis ce seul trait de milliers de jours, de sueur pleuvant sur le regard. Le tumulte du sixième sens, renaissant dans le near. La tectonique du prisme l’emblème vers l’état de la géode, puis vers celui du cercle ; les parfums endocarpes vont plus rapide que la main à tracer les angles d'antiennes paraboles renées. La fièvre est mondiale, de timides coups du coeur en suintements frôlants qui retrouvent telle forme antérieure insûe. ça le doit tel qu’en nous deux, la vie et l’art à l’être de travail ; Main à relayer le galop rumeurial de la rue de ses propres cellules, à la main. Papilles de pores prennent brique rouge mat du dix-neuvième arrondissement. Les nerfs entre sable et plongé se
nourrir de sa force justicière, jusqu’à boire, longtemps, à sa source finie de cri sans mort, et rester invincibles.

... invidé par Ferrehus à 15:12





clusteralyzes (Échologie des Villes, premières notes...)

le grésillement du compteur électrique, tu ne viens pas, brûlure. mais /côté suis de l’autre passé. en oublier l’eau. appels inconnus, tu, me jette sous la ville. dans la rue il y a des chiens. dans la rue il y a des chiens et des gens qui les suivent, ces chiens. dans les villes, les rues sont affligeantes retardataires dimensionnelles. leur plaquadrillage foré entre les reins dim(immeubles)=3. dans ces rues que l’écho only du soleil nimbait d’un éclat crépu & corpu/sculaire, j’ai commencé à rêver d’existences asymptotiques, de naissances métalliques dans des matrices barbelées.
mais quel écho est-ce ? de quel côté /passé se perpétue la logie
car semblerait que le rêve y ressemble où j’y rêverais que je suis ici à rêver sous échoïne...
anyway :
la statique déferlait comme des échardes de gingembre.
là appuyé l’épaule sur la colonne de béton ferraillé à 200 kg/m3 l’océan plein nord j’étais seul dévers de la phluence, les nuages se dispersaient au-dessus comme les mains d’amants qui se séparent.
la statique pleuvait de l’embrasement jaune, tu.
là ployé l’épaule ankylosée sans armatures à 200 kg/m3 juste les yeux dopés
regarde-les je n’y vois plus le monde mais lui m’y voit regarde-les phasme de merde
la statique pleurait une convection chaude que j’en aussi, TU.
alors mon pèlerinage je débarque ici, fou ça,
du dégoulis de sang plein les fouilles alors que nada dans le buffer-mirettes, chhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

... invidé par n(cqls)² à 15:03





01 septembre 2007




[]MUTANT[]


... invidé par [g-Cl4RENKO] à 10:42




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