.

 


29 avril 2007




cocolino never die

steppe 38

... invidé par cocolinoNEVERdie à 23:46





28 avril 2007




Merde j’avais pas l’intention d’aller le revoir j’en chiais des lapins. Je tournais pas mal de temps devant Leclerc et j’me prenais pour un radis. J’aurais bien aimé rencontrer ma mère ou un truc, une cuisinière ou Bernard Tapis à ce moment pli, d’abord la première était morte assommée par le marteau du con, le deuxième avait explosé dans l’incendie, et le dernier j’entrais dans Leclerc j’achetais du jus juvitaminé. Il habitait au cinquième étage c’était toute une écorce pour se procurer du calmant au bout du deuxième je sonnais une piqûre. J’m’y résolvais pas et je grattais le ciment. Ce qui m’énervait c’était le souvenir de sa petite bouge pincée ; très coincé, très coincé, très coincé. Les gens coincés ça existe, plus qu’on ne le croit. C’est pas lié à des instructions sexuelles assermentées, mais plutôt à des pincements inhospitaliers. Putain j’me cramais la cervelle j’y arrivais pas et je m’enfonçais dans le thé de la vieille du deuxième qui m’avait ouvert son chez-moi. J’étais super acidulé du fronton. Je contemplais les pigeons, le rebord pointu du balcon, la semelle rouillée de son con, et

PUTAIN ÇA FAISAIT QUARANTE HUIT HEURES QUE JE FAISAIS DES RIMES EN ON. BORDEL. ÇA VOULAIT PAS ME LÀCHER.

... invidé par estragon à 03:58





J'ai beau m'insomniaque, j'vois pas l'bout du citron.

Ce sots des mies de flain.

Ici on conjoncture le cardiaque, ses petites venelles rouges

est-ce que c'est besoin de finir

truc y machin blurp J. s'invente de la marmelade biographique pour se reluire l'infondé et sa peur translucide entre ses poignets. truc y etc. etc. toujours qu'on remarque une, deux fois, c'est si simple, d'être bête. D'abord c'est simple, il suffit d'être frustré du ballonnet.

J'on viens au taie.

D'abord c'est céruquant toutes ces histoires de famine.

... invidé par estragon à 03:07





27 avril 2007




nuclear parano.

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 22:07





Noyer les poissons en cadence
ça, je sais faire
trois coups d'ampan et douze de ders
et dépasser les limites
violer la muraille à travers de laquelle
on aperçoit au hasard
nos soeurs et frères par milliers noyés
et pas un parent qui ne réponde
pas un seul
les orteils noyés sous des des mètres cubes d'imageries
d'alphabêts tremblants
d'écarquillements de paupières endormies
Je laisse ça aux goinfres du doute
et des avanies
mais ma bile est amère
Les framboises moisissent dans le jardin
les moineaux n'y sont pour rien
de toute façon
les épines sous les écorces des arbres
aucun intérêt
pour les spotters
les glaneurs de frontières
qui me hantent au bon vouloir des propriétaires
Et ces mamelles du destin
qui pointent dans n'importe quelle direstion
comment voudrais-je
m'en défaire
les débats j'ai assez donné
les compromis je laisse tomber
les erreurs des années passées
autant de cauchemars sous le vent
si peu de calme
de repos
de néant pour si attarder
d'une manière lancinante
(baveuse parfois, ouais, bon, hein)
Et quoi d'autre, au réveil ?
Une aveuglante lumière d'un jour qui perle
et de framboises aux abois
sans assez de paupières pour y parer
..the cinematic orchestra - the awakening of a woman

... invidé par OlendelL à 04:34







... invidé par saihtaM à 02:40





26 avril 2007




Rick Deckhard _ study

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:29





cyclops revolution

écrire un texte qui s’appellerait superjudge de monster magnet
on parlerait de nicolas marti, des grave parties, de la vallée violette, de l’alouette, d’alice, … du rêve, de l’intensité, de l’adolescence
d’emmaüs à vendôme, de cracovie
de l’alcool
des paroles du disque, traduites le plus souvent par n m
laurent turpault, bruno berson, rémi guillaume, marti’s, fr, etc (liste à complèter)
des premiers baisers, de séverine bartal
ça me déchire le cœur
la bonne musique me fait le même effet que le sexe (aussi fort, voire plus) ; du coup je ne peux en écouter avec ma copine, ça me déconcentre.

... invidé par saihtaM à 22:55





Natasha est un corbillard et tout son être crochu, désossé et palmé roule sur le macadam en continu, son torticolis se torche en direction des cumulus et son bras effectue des stationnements interdits dans la plante de ses pieds. Natasha expire d’une petite buée ronde et part lentement dans la tache de graisse sur le mur de la cuisine. Ses petites rides se creusent, elle sourit jaune à son chat qui poursuit un cafard. Puis plus rien, c’est comme ça ; ça dure quelques minutes, puis elle redescendra, dans les heures à venir, vers un accent circonflexe sur une cuillère qui traîne, et sa chute financière physique et culinaire qui allume la cuisine entière. Elle a le bec plat, des petits yeux rouges vifs, quelques restes de rouge-à-lèvres dont elle se fout à présent, elle s’essuie la bouche et fredonne des vers en direction de la cafetière.

« Spongex Moulinex... Spongex Moulinex... Spongex Moulinex... Sponge Mouline... Spongex Contrex Poudine, boudine... Spongex Moulinex... »

... invidé par estragon à 16:26





23 avril 2007




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21 avril 2007




Nom : Rick Deckhard
Type : Humain
Genre : Masculin
Statut : Normal / Normal
Naissance : 27/07/1994
Fonction : Tueur de robots
Autorisation départ Terre [émigration] : En attente

Scriptopsie : jme fais des shoots d’€$ (l’argent est drogue dure) / humeur optimisée / chaque être est un scénario différent / suis forme ancienne et élevée de biotechnologie / ma proie est supérieure mais sans défense / chacune de mes cellules contient jusqu’à cent mille milliards fois plus d’informations que puces informatiques les plus sophistiquées / 1 cerveau = 10-100 milliards de neurones / 1 neurone = 1000 synapses / 1 synapse = 10 millions de récepteurs / j’écoute de la quantech / ma conscience est champ électromagnétique engendré par l’ensemble de mes émissions corticales / « Il semble que le cerveau soit un des objets les plus complexes que l’on puisse rencontrer dans l’univers » / trahir un traître, éthiquement, ça se situe où ? / votre structure cognitive ne dispose pas des ressources nécessaires pour accéder à la conscience et la compréhension d’elle-même / bonne odeur mêlée d’orange fraîche et de café brûlant / je suis un tueur de mort / je ne tue pas ce qui ne vit pas, je tue des non-vivants : les androïdes / je ne tue pas : je reformate, réforme, rétracte, diffracte / réformé 6 Nexus-6 en 24h / les robots qui se suicident à la moindre contrariété, c’est pénible, on peut plus les tuer / boom sur stimulations psychiques exogènes (apport données cognitives) / les hommes disposent d'un orgue d'humeur, appareil leur servant à choisir [aiguiller, aiguiser, composer] leur état d'esprit / les ordis sont devenus tellement compliqués, des systèmes si subtils, que vouloir comprendre ce qui déconne dans un système s’apparente à de la psychanalyse, une psychanalyse d’ordinateur / mieux faut reformater, ça va plus vite / on peut pas faire ça avec les humains, dommage / ai-je déjà mis hors service un humain par erreur ? / ton organe mental est incapable d’interpréter l’abîme entre nos deux existences / laisse-moi pénétrer ton cerveau… et je cesserai de te torturer / les mésanges vivant dans les villes acquièrent un chant plus varié émis à une fréquence plus élevée que leurs homologues des bois et des champs / robots toxicos, accros au biotex / au sein de bâtiments gigantesques se cache une microbille de 2mm de diamètre / je nage à la surface du lac le plus profond du monde, il grouille de circuits réplicants / d’organismes synthétiques / toute vie est en retirée / utopie ou autopsie / je collectionne les poèmes de serial-killer, les lettres d’espionne, les lettres de condamnés à mort, les poignards d’anarchiste, les pistolets, l’horlogerie de bombes ayant tué des gens célèbres, les statuettes empoisonnées, les squelettes d’assassins décapités / vous avez de très belles veines, des veines à piqûres / il faut aussi répertorier tous les présumés innocents / chapelet de lacs de méthane liquide / lacs sombres et irréguliers associés à des chenaux et des dépressions / neige d’éthane / le sperme m’embouteille les synapses / baiser nettoie le sperme qui mbouche le crâne / baiser enlève les émeutes qui me bousillent la tête / pute-frite svp = pipe + vous mangez des frites, très répandu à Lunar-3 / dégage de mon schéma actanciel / je ne suis pas une personne, chuis une arme, j’encule le métal / chuis un mystère que t’as pas envie de découvrir / le combat est l'hygiène de la guerre / rien à voir avec ce que tu crois être ta « personnalité », putain / ta cousine est un uzi, regarde-la dans les yeux, regarde son ptit trou / jte transperce et t’épingle comme insecte dans collection / liposuce ton trouduc babouine / mets ta tête dans ta foune babouine jveux plus voir ta gueule de fouine / jtranspire angoisses dans bain de sang-froid / étranges bactéries dans tes tissus internes / d-graf le soutien-gorge rouge de tes fesses / cible 1 : [Préoccupé de métaphysique, cet androïde « mystique » a été l’instigateur d’une tentative d’évasion en groupe assortie d’une pseudo-justification idéologique : le caractère prétendument sacré de la « vie » des androïdes. De plus, cet androïde a dérobé et manipulé pour diverses expériences des drogues ayant pour propriété de permettre la fusion des esprits. Pris sur le fait, il a alors fait remarquer que les androïdes étaient « privés » de toute expérience de groupe de type fusion sacrée, et indiqué qu’il désirait remédier à cet état de fait.] / grille-pain / baiser mdébouche le cerveau / cible 2 : [monstre, plus spécial que le plus spécial des spéciaux] / plus spécial que le plus spécial des spéciaux, je suis le flic des normaux / plus spécial que le plus spécial des spéciaux, je suis le chien de garde des normaux / plus spécial que le plus spécial des spéciaux, je suis le protecteur des normaux / plus spécial que le plus spécial des spéciaux, je suis le gardien de la paix des normaux / plus spécial que le plus spécial des spéciaux, je suis le policier des normaux / les Souffleurs : émigrez ou dégénérez / haut niveau du caniveau c’est du chaos-niveau bébé / avec l’allure de l’espoir / dealer de douleur-délire / ordi rachidien / la pourriture mutilante de l’air / seins-nébuleuses / crime anti-empathique / boire bière sous pluie en haut montagne face vallée / la toux est dans le crâne bas / le soleil se lève avec les neurones / l’os-œil, le soleil est l’os de l’œil / villes de mensonges, cabanes de vérité / habille-toi pour la mort / cible 3 : [vampire électrique né de la foudre et suçant l’électricité des vivants et des objets (mécanismes, sources d’énergie) ; particularité : systèmes de furtivité (absorption des ondes radar et profils aérodynamiques spécifiques) ; nous pouvons présumer qu’il fonctionne sur le thème « tuer-écraser-détruire »] / cités : silos à humains / humains : silos à ADN / ADN = serpents / station Guerre-Mondiale / centre commercial Zone-Nucléaire-Soleil / ma surface de muqueuse olfactive est de 150 cm3 / par jour de grand vent, les caniches mutent en cerfs-volants / écoute ce langage des couilles, débile métal : t’es hors-circuit / va tfaire archiver, tes pets toxiques sont la préhistoire du terrorisme / interfass tracorticale / procédure neurochirurgicale d'augmentation dl'intelligence / premier humain amplifié / d’abord je fonce, ensuite jpète les plombs / partouzes super-rapides / 100% pure mort / on éclate et on svide de son sang comme un porc / sexe brûlant et sang frais / délit : copulation avec androïde, article 14.242 / au bout d’un certain temps, je trouve que c’est incestueux dcoucher avec sa propre femme / fille dans le vent, fille qui sait se vendre / prostipute fourre-tout / tes yeux sont des trous noirs où les gens meurent / ce ne sont pas des personnes, ce sont des armes / j’ai un révolver caché dans mon œil, elle a un révolver caché dans ses gros seins (des poches-rêve-lovers sous les yeux) / androïdes mystiques et drogués contre machines réflexes recouvertes de chitine et dépourvues de vie réelle / choses étranges se suicident par réponse émotive programmée / herbes couvertes de poussière / j’ai l’impression de plus rien avoir dnaturel, suis devnu personnalité contre-nature / j’ai trop de pensées dans tête ma, je… npeux pas concentrer, ça mjêne / tu dois lutter contre / je dois laisser faire / la pluie se. suicide sur nous / le sang éclabousse le feu et l’éteint / nous n'avons pas réussi à modifier lesmodifications de leursmodifications / cervo abîmé par diocvité _ ça y est chuis spécial _ me confonds totalement avec la poussière / je me conf. tot. vec la pouss. / me conftote vec pouss /

... invidé par saihtaM à 21:47





20 avril 2007






step 36

... invidé par cocolinoNEVERdie à 19:13





18 avril 2007




hacker's delight

raison basse (lots of murcie)
brigitte bardot par e/ay/dd
berlin 83 (soubieux)

... invidé par saihtaM à 22:49





17 avril 2007




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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 21:59





16 avril 2007




ici on ressasse.



(allez quoi on resuce cold et on remballe vite)

... invidé par n(cqls)² à 02:58





~ week @ 2 al

et marasme à face avec, force Jhonn de ne savoir où se descriptive-t-il

deviens-je donc quoi voilà dDelay shitload glitchique haaaaaan jusqu’à plose/plause again puis ça passe comme des nuages les triangles d’Autriiche les antennes acupunktristes <qui m’obsèdent même pas plus que les obscènes passages dans l’’’’’’’extérieur> me parlent du miroitement des tables me renvoient iibe dans les yeux calculent les trajets les pertes des corps devenirs caressés en référentiels moisis tellement que back: bouffe abîmes toujours si panopthalmiques qu’aucune misère ne le fait
excentricité sanguine dans l’iris._x + 13 profitée encore vite lassée car dehhhhhhors je ne vois pas de nuages je suis dedans c’est l’eau zone des baigneurs dociles tu sais les chiens hoche-tête en cartonplastocpoilu à l’arrière des R5 Citroën Visa des familles sans repose-tête 80’s
chacun sa cybmerde en fait rien que les yeux de-dans que veux-tu pluggé sur la tentaculture aka la poussière sous le terminal
des biais dans l’existase qu’enregistrés pilés par le bocal/mental peu à peu pentu à doses perpète qu
y a-t-il un paroxysme de la perplexité :quand pris drums clicoupés déchires-ondes à doses perpète qu
ne décolle pas de colère pas DÉcomprends surtout l’étroitesse des couleurs malgré schémas dans ciels démentielles danses gazeuses décervicalantes de rigueur
raideurs la vie est faite de petits réceptacles n’est-ce pas pots-beurrés de peurs procrastinées putain

chaque matin Jhonn se dit je vais
fi
droit dans les yeux de ses crustacés notoires qui le conversent en marge des encablures, sa maigre notion de nation, l’intérêt en survol bas des breaks fissionnés qu’une affection spontanée mitige là
fi
chtre

... invidé par n(cqls)² à 01:24





15 avril 2007




23h + 55, le snif (galvaudé) as it should be

la nuit ne veut plus rien dire depuis hier
jme souviens d'ici quand les i pas strabistes
y avait nuvariations qui glissait underscores
et on disait encore des heures sans recul
des trucs traficotoshopés au lance-pierre (?)
sans l'accord du template tout crispé
je rengainais mes gris hésitant shiftais
que c'en est muet des archives finies effacées

comme ça quoi.

... invidé par n(cqls)² à 23:51





14 avril 2007




Nom : John Isidore
Type : Humain
Genre : Masculin
Statut : Débile / Spécial
Naissance : 29/02/1984
Fonction : Sans
Autorisation départ Terre [émigration] : Non

Scriptopsie : som animo, vec outil ksapel cervo / paraît que ma bouche parle / que je devrais surveiller la / jpeuple banlieubandonnée, abanlieudonné, abanlie né dodo / autroutes terrompues dans vide, omilieu dchamps / jvoudrais bien avoir cervo comme vôtr ; jpasserais test et nsrais plus débil / vous : spérieurs ; jpourrais prendre beaucoup dvous / j’a pas chappé nettoyeurs cervo / étiqté spécial, stérisé, cessé dfaire partie manité / j'essaye trouver + dans - / jchange chair en os / jmanifest pour objets / pour leurs droits / ozobjets / zandroïdes sont malades… d’une maladi atroce / - l’est mort ? / - difficile dire à, l’a toujours tête-là cette / robots doiv êtr traités vec manité / tuer robots est contnatur / cien métier : ogrammeur de livr / suis végétation ambiante / mzyeux sont dla végétation ambiante, panneaux solaires d’ADN / j’entends pensées / j’ai pas voix mais j’envie / morviants dans bombes sous chevyeux / zenfants courent vite com rats en rage / lucinations teractives / jromps silence par autr silence, différent / ton vizaj ktsors dnulpart / intérieur tête, capter é,missions venant xtérieur corps / mes. mains. grattent. les murs. toujours. plus. loin., à. la re. cherche. des. fourmis. dans. les profondeurs. / mon cervo sdope aux curés / jpy rien : msens pa kserné par tricité / enyj py rien : msens pa kserné par osiété / voir… vouarc-en-ciel d'idées comme arc-en-ciel couleurs / bombe nucléaire dans champ de fleurs / vingt mille poubelles distinctes dans arc-en-viol, sans qu'aucune soit nuance d'autre / babelpoubel / descendons tous de viols / msuis acheté brochur Suicid pour Nuls / exilofoné / msuis cent fois mieux dverti quand jtais coma dans / simlateur d’aube, fontaines bière / on fum pas dans mtête MERCI / tu mmarches sur la bouche / - - -tu me manques – be u / fleurtrounoirs / umain ors-circuit / t'engueules vec réverbèr / façades fenêtres murées / beauté monde vie quand soleil là / chminées scapées struction zine, menses açades graphées / sréchauff tour feu dans bidon / - chu mort, pas sourd / dans mense meuble, vide décrépi, cepteur lévision bite formations dans pièce déserte / dans mense meuble vide & crépidé, qui jadis a brité liers d’habitants, un nique récept vilésion bite sa salade dans pièce déserte / normaux gendrent parfois spéciaux par advertance / penser par camizol / viouvriers crasseux tageant verres plastique gros rouge sur capot voiture pleine d’outils (coffre ouvert vèle bric-brac outils, riture, stensiles cusine : l’un d’eux dans vature comme bitation) / nconnaît vraiment organes ses, kprès vous fait souffrir ou jouir / sonnalités fantômes / pupolations dracinées par guerre errent au hasard, campent dans région puis autre / maintenant soleil cessé briller Terre, conisation entr dans phase tièrement nouve / coquille ville / cancer tête / la gérosité des achines, la géronité des dinateurs, y pense-t-on, pense-t-on assez, y pense-t-on assez souvent / jcherche côté sombre dl’oscurité / jvis par mon nez / la pluie tatoue poux sur vizaj / grêle pique zaj-paupière / vent glacé pières criantes plissées sous qûres tatoue douleur sur traits / ptêt nodules extra-soriels dservo fini par rpousser / suis ponge blessée kponce oigneusement ses plis / mèches veuch gote-po / arc-en-ciel est pâtissrie solaire (mille-feuilles photonique) / monamie laptiteNoire ochveumoves et oblousonranjo / pourquoi sortir drêvenfance ? / trairement à Réplicant un, la moinde plante, kpourtant parle pas, contient sprit conscient kvoit tout, qu’est âme de plante, son essence, qui rend vivante la / même pétales tige feuilles, sont pleins d’êtres / Réplicant a rien dtout ça, et doit tout rcréer lui / même chveux yeux reilles, sont pleins d’êtres / suis porte-valises à micror-ganismes / janage sous ladouche ma j’a du mal à ramonter lcourant / fermi zyeux : squences dmages lusnantes dfilant tesse nouïe / ADN : slule vivante qu’émet photons / ma subjet d’étude : lmission photons dans nrones d’un ête qu’halcine / libellumaindroïd / rendre louïe o sourds / diouleur fantôme, rebelle à traitement / instincts déréglés, pensée pas fiable, ADN pathétique / cancer dla tête / structions mentales dont zêtes héros / térieurement veuglé par orescence neurones / flubiorescence / hom des fondeurs de tête / âm du crim : lalime du crâne / mémains gratt murs tjours plus loin, cherche fourmis dans racines tête / tellement pressé que mtorche avant chier / faut vite que jchie avant kmerde prisse dans testins / j'ava pote qui chie piranhas, flait gaffe à scouilles quand passe près lui / pluie = programme, protection "C" : stinction masse espèces / soleil briller Terre cessé / liqué-fictionné / iperdéprim / bistouil, cracher bistouil sur sol stéril / mon nom .est. ihizy door /

... invidé par saihtaM à 00:44





13 avril 2007




cocolino 20 th
steppe 35

... invidé par cocolinoNEVERdie à 17:28





12 avril 2007




Quand j’étais petite à six ans, E.T. me faisait la même impression. La salle de cinéma se situait en bas de l’avenue de Versailles, le quartier était plus pauvre, brouillé et bordélique, c’était les années 80. Un mélange de modernité et de pauvreté dans ce « bas » XVIème. Je logeais chez ma marraine, et pareil des meubles gris, vestiges des années soixante-dix, en bordel, brouillés, dans son minuscule appartement juste au-dessus du cinéma. Ils croyaient me faire plaisir en m’emmenant voir E.T., mais moi, dans mes yeux de six ans, je ne voyais en E.T. qu’un être monstrueux aux bras longs, j’étais très angoissée et finissais en crise de larmes, on m’extirpa de mon siège.

Alors je pensais à ça en revoyant M. vingt ans plus tard. Plus exactement/oui vingt ans plus tard. M. quand j’étais petite, c’était E.T., avec ses pensées démesurément longues qui couraient à l’infini et je finissais en crise de larmes. Pour en finir avec les phrases qui riment et les effets de style : M. était schizophrène, ce qui à huit ans est inabordable, tout comme E.T. ; bien qu’ils fussent inoffensifs.

En revoyant M. à 28 ans, et revivant les mêmes scènes, mon corps éprouvait une vive douleur et j’étais profondément meurtrie. Ça, ça n’avait pas changé, ou peut-être que c’était à cause de ce conditionnement antérieur, lorsque j’avais huit ans et que je prenais peur, lorsque j’étais emplie d’une pleine tristesse, insondable et incurable en écoutant M.. Quelque-chose qui ne m’avait jamais quittée. Depuis lors je ne savais plus bien qui j’étais ni un homme ni une femme, ni une plante, mais un détritus solide.

Il n’allait pas bien M.. Il avait trente huit ans. Et il en avait eu marre. D’abord la vie ne lui avait rien apporté, alors comme tous ceux qui survivent sous médicaments, extrêmement fatigués, il en avait eu marre, il avait diminué la dose progressivement, en douce. Dès l’introduction il m’avait parlé de sa théorie du cervelet. Si M. partait, décidait de se laisser dériver, c’en était foutu. Majeur, on ne pouvait pas grand-chose pour lui, à part le surveiller en bas de chez lui, matin et soir, pour vérifier qu’il était bien vivant.

Je ne voulais pas comme autrefois m’enfuir dans les pièces en courant, je ne voulais plus avoir peur, et je pensais probablement égoïstement à moi et mes peurs d’autrefois qu’il fallait vaincre, plus simplement je voulais aussi l’aider, mais M. était déjà parti, il mentait, pour échapper au complot national. Il me parla de Big Brother, j’étais plutôt étonnée de l’entendre citer une référence « banale » dans son délire, mais je crois que c’était juste pour faire joli, m’endormir avec des références compréhensibles et communes, ou peut-être pour appuyer sa thèse et que je le comprenne bien.

Cependant, en fait, pour M., le complot partait des actrices.

Tout était organisé entre les « Cendrillon » et les « Javotte ». Selon M. les femmes étaient divisées entre les Javotte, le plaisir de la chair, et les Cendrillon, le plaisir moral, l’amour. Javotte était la sœur de Cendrillon. Et tous les parents rêvaient d’avoir des Javotte. M. pour son malheur avait en temps normal de sérieuses aptitudes à penser, il était même doué, alors lorsque la maladie revenait, ses discours commençaient par des introductions deleuziennes, on se prenait au jeu, on se disait presque qu’il était guéri. La théorie de la Javotte et de la Cendrillon se terminait bientôt en d’insoutenables perditions parmi Big Brother. Et les actrices.

Je lui ai glissé comme ça non tu sais l’une des idées la plus pénible et la plus couramment reçue est que la schizophrénie est un dédoublement de la personnalité, idée reprise en chœur par nombre d’intellectuels, journalistes, probablement émoustillés par l’Anti-Œdipe, enfin je parle des intellos qui phantasment sur Gilles sans jamais le citer, et qui ont cette vague impression que schizophrénie est un terme en vogue, ou une façon d’être en vogue un peu comme on se sape chez Foucault. Non tu sais c’est pénible et moi ces gens-là j’ai envie de leur faire faire un stage en internement psychiatrique avec toi au milieu des courges et des navets gris qui se branlent sur leurs chaises la vie énucléée de leurs têtes et qui errent dans les couloirs en partance pour pas d’histoire et pas de neurotransmetteurs monsieur, non trop de dopamine, c’est un cancer de la dopamine que vous avez là, et j’aurais bien envie de leur faire ingurgiter des antipsychotiques pour qu’ils comprennent vaguement mieux la différence entre les concepts rhizomiques et la réalité et

Selon M., les actrices étaient les seules qui accédaient à la voie « éternelle », les seules qui étaient donc « immortelles », elles s’arrangeaient pour qu’aucune autre esclave de la société ne parvienne à ce degré d’immortalité. De ce fait tout était organisé, il y avait des surveillances un peu partout, mises en place. De ce fait M. ne pouvait parler qu’à sa famille de tout ceci, car le reste du monde le surveillait. Lorsque je lui demandais s’il en avait parlé à son psychiatre, il me répondait que le psychiatre faisait partie du complot, et qu’il se servait de ses paroles à lui, M., pour sauver ses propres enfants.

Nous passions deux heures avec sa mère, à rire, à crier, à le raisonner, parce que si dans un premier temps on a peur, si dans un deuxième temps on s’apitoie, il arrive un stade d’éducation à cette maladie, où l’on sait percevoir les brefs instants de lucidité, où l’on peut encore le crocheter à son bras, pour le ramener, certes brièvement, à la surface. J’eus un instant de faiblesse et je fixais le mur. M. nous considérait comme ses psychiatres, puisqu’il ne pouvait se confier à personne, en raison du complot. Alors quand je sortais de là, je marchais robotisé jusqu’à chez moi, je ne disais rien – tu es là ? – j’ouvrais la bouteille de merde à quatre euros je versais un plein verre et je n’avais qu’une idée c’était ne plus parler pendant deux heures, me taire, boire mon sale vin de merde et me taire, méditer sur ce qui m’avait toujours fait contempler avec rage les humains et leurs terreurs, leurs petites terreurs, leurs petits orgueils, leurs petites fiertés, non c’est faux, je ne voulais penser à rien, comme d’habitude depuis mes huit ans, alors je me servais ce verre, et je fixais le mur devant, et je m’en servais un autre, et je fixais le mur devant, et je m’en servais encore un autre, jusqu’à ce que j’arrive à m’absenter de cette douleur qui n’était pas la mienne, mais que j’avais prise sur mes épaules, très noire, distordue, entrechoquée, dents carriées, vieillesse, déceptions, fanges noires, liqueurs frelatées, os vérolés, des tas de charniers, abondants à mes pieds, des visions de petites véroles, et des tambours, et des tétraplégiques, des carences, de la colle forte, des disparitions, des placentas un soldat se tord les bras et viole une gamine en sang dont les boyaux sortent à grandes coulées j’ai toujours aimé le dictionnaire de la langue française.

... invidé par estragon à 22:05





imitation du monde extérieur
décalcomanie
logique institutionnelle et médiatique
reproduire, mais ne pas penser
pop art mou et bien-pensant
présent clos et sans cause
principe de désidentification
puritanisme

... invidé par estragon à 17:11





Ici on recycle.

... invidé par estragon à 01:09





11 avril 2007




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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 21:36





10 avril 2007




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step34

... invidé par cocolinoNEVERdie à 20:13





09 avril 2007




palette de sang

... invidé par cocolinoNEVERdie à 18:35





08 avril 2007




S . H . O . O . T .

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:08





06 avril 2007




Trop de la boulette la musique à Yannick


(Mais n'en profite pas, Charles)

... invidé par estragon à 22:35





04 avril 2007




un ptit coup de chamanisme d.i.y.

... invidé par saihtaM à 18:56





03 avril 2007




il fait beau dehors
step 32

... invidé par cocolinoNEVERdie à 15:37





02 avril 2007




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step 31

... invidé par cocolinoNEVERdie à 21:53





Suite à l'analyse des caractéristiques de la crise fébrile et la recherche d'une affection familiale, nous avons pu éliminer plusieurs fièvres factices. Le rôle du froid et de la surdité furent déterminants.

Sinon il fait beau. Dehors.

... invidé par estragon à 13:19





01 avril 2007




anti
anticon
anticonfor
anticonformiste

... invidé par [g-Cl4RENKO] à 11:58




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