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28 février 2007




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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:06





26 février 2007




TXT

bilan : + 2 ko, peine 5% de l'ancienne archive in genesis. days of invidation, du plus bel acabit.

... invidé par n(cqls)² à 03:11





25 février 2007




step... ? 48 ?

Du coup j’avais tronqué mon corps, une bonne partie de moi, ça n’existait tout simplement plus. Nombre de gens n’existeraient plus, en même temps que ce morceau qui partait à la dérive. Il fallait faire des choix, couper les parties gangrenées, les mortifères, les hargneuses. Je me retrouvais sans jambes. J’avais décidé de m’acharner. Je marchais grâce à un skate-board. Je posais mon tronc dessus, et je roulais. C’était difficile, mais au moins je ne me réveillais pas dans un matin noir sans fin, à ne pas savoir pourquoi je me cassais la gueule sans même m’être levé. Je n’avais plus à supporter les non-sens, les exaspérations, la mauvaise foi, la haine, l’envie, le paradoxe. Je n’avais plus de jambes, mais au moins j’avançais. Avant, d’essayer de comprendre, je faisais du surplace, jusqu’à en faire un trou, jusqu’à m’enfoncer sous terre. Bien entendu ces choses-là demeuraient. En vie. Mais je ne me situais plus dans leurs trajectoires. J’étais libre. J’avais des morceaux en moins, que j’avais laissés sur place, aux chiens. En avançant je m’apercevais qu’il y en avait d’autres. On roulait tous ensemble avec nos skate-boards, on faisait des courses en riant, plutôt bêtement. Il faut dire qu’on en devenait niais, de cette liberté, de ces secousses. On s’encourageait, en hurlant. Ça m’avait manqué. C’était mon truc l’encouragement. Le support. Supporter l’autre. Évidemment le risque, c’était de tomber sur des personnes qui ne supportaient que d’être supportées et qui ne vous supportaient pas. Maintenant c’était loin derrière. Avec mes potes sans jambes, on roulait super vite. Ça n'avait pas été facile de se trouver. Dans tout ce noir. C’était grâce aux briquets. À la fumée. On s’était retrouvés près d’un chantier.

On avait dit :

— T’as vu, c’est cruel ?
— Ouais c’est cruel.

Le sang dégoûlinait. Mais on ne pleurait pas. On s’était faits avoir. Par une kyrielle de gens. C’était des gens bourrés de poches de faux sang qui tous les jours appuyaient dessus en disant « Oh mon dieu as-tu vu comme je saigne ! » Et le sang c’était du ketchup. Et à force de nettoyer le ketchup avec nos frites, on en avait perdu les mains. Donc près du chantier, on s'était serré les moignons.

Le matin je sautais jusqu’au beurre. Je sautais jusqu’à la casserole. Pour baiser c’était pas évident non plus. On avait fait des réunions. Pour appréhender l’objet perché. On s’était donné des conseils. On en avait conclu qu’il fallait boire. Comme disait Big Pu, l’objectif c’est la lune, la succession des trois stases (bouteille toi tire-bouchon) fera place à une co-simultanéité de trois extases.

ÉTHERNITÉ.

Limite un renversement pataphysique.

... invidé par estragon à 22:59





24 février 2007




step 21

rip 2323-2327

... invidé par cocolinoNEVERdie à 16:17





23 février 2007




BONUS MATRAQUE


... invidé par saihtaM à 13:48





22 février 2007




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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 22:37





21 février 2007




steppes éà (please be mine part five)

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les chimistes sont de mauvais coup

... invidé par cocolinoNEVERdie à 16:32





20 février 2007




please be mine - part four

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chemist's at your service : Uncircumcision but the love. Behold, he is in.

... invidé par estragon à 11:14





thepurgatory.

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 01:27





19 février 2007




— Salut ! je suis sinistre ça vient tout seul à coups d'ongles et d'aggloméré de nain
— Mardi ?

... invidé par estragon à 17:56





step &beta (vladHELLo fcks mendeLEEVians mix)


... invidé par n(cqls)² à 01:06





18 février 2007




steppes &_

-salut ! je suis chimiste ça vient tout seul à coup d'ondes et d'apogée de main
-lundi ?

... invidé par cocolinoNEVERdie à 22:32





17 février 2007




Non en fait ce n’est pas très grave, de se réveiller tous les jours après toi. Je peux toujours féconder la distance et le lit reste chaud, toi seule et ta tendresse écrasante Solange à poil au milieu du balcon, l’envergure phare de tes bras sous ton œil de plomb je sais, que la haine te suspend et ma tête Solange s’enfonce en surface. Tu es impénétrable, sauf quand je ne t’entends pas.

... invidé par Nann à 17:29





16 février 2007




stomach of the ghoul.

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 19:58





step 17 (please be mine-part three)

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... invidé par cocolinoNEVERdie à 18:35





15 février 2007




Baby see... you're so crasy, hou hou baby, you're so crasy

160207-2pm/



— Y’a des putains de gens qui savent pas ce que c’est que la tristesse. Ils naissent avec tout dans le bec. Et quand ils pleurent tu vois, c’est de s’ennuyer, d’avoir tout dans le bec, un petit bureau IKEA, et de pas arriver à ressentir, et de pas pouvoir s’exprimer, alors ils pleurent, de larmes de crocodile jouisseur, et ils te pondent des petits arcs en ciel colorés autour du visage de Chantal Goya sur papier lavis, et là ils se disent qu’ils sont enfin quelque-chose qui ressent la douleur, qu’ils sont peut-être enfin poète ou artch… chtarts… tss… tsiste ?
— Ouais mais J-P, t’es chiant, t’es un peu le corbeau tu vois, faut pas niquer l’ambiance, tu vois les gens sont heureux, ils y croient à leur microcosme, c’est des sharks tu vois les gens, ils t’éliminent vite fait, pour ressentir à ta place, des fois que tu ressentes trop, ils t’éliminent avec leur arcs en ciel cucul et leur sodomie du nombril et leur bureau IKEA, merde fous pas la merde J-P t’es chiant, on est bien là, à boire, une galerie c’est ça, c’est boire, c’est une supérette, tout le monde s’en fout, sauf le petit bourgeois de merde qui s’est un peu relevé de sa condition sociale en se bâtissant artiste avec ses concepts foireux et ses guirlandes lumineuses dans les yeux.
— Ouais mais t’es sectaire, je vois pas pourquoi ce serait forcément bourgeois, mois je suis bourgeois, je vois pas pourquoi ce serait forcément bourgeois.
— Parce que fais ton enquête, c’est systématiquement bourgeois ces conneries, comment une merde peut arriver à l’affiche mon gros ? par relations. Et les relations ça tient de la caste, de la caste bourgeoise, et de ses larbins.
— Ouais t’es sectaire.
— J’m’en branle. Eux-aussi ils sont sectaires. Ils aiment pas les gens qui ressentent, tu vois ils aiment pas le sentiment, ça les met en face de leur impossibilité à exprimer un sentiment. Ils expriment des grosses merdes fushia entourées d’arc-en-ciel Chantal Goya simili Pop-art tellement ils ont les chtouilles de pas faire ressentir comme Publicis. Ils savent pas par quel bout prendre la chose alors ils conceptent selon Colette.
— Quelle bande de connards.
— Ouais. Enfin y’en a qui les aident.

... invidé par estragon à 20:58





14 février 2007




please be mine - part two

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 20:51





step 16: please be mine

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... invidé par cocolinoNEVERdie à 20:34





13 février 2007




the ghoul



... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:57





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... invidé par cocolinoNEVERdie à 16:48





La police britannique a signalé le 17 juin que Mister A., un paon amoureux, passait dix-huit heures par jour à se pavaner et à faire la roue pour tenter en vain de séduire l'une des pompes à essence, à la station service de Brierly (sud-ouest). Selon les ornithologues, le volatile est attiré par les cliquetis des pompes qui ressemblent aux appels à l'accouplement des paonnes. Les frères de Mister A. sont aussi fous que lui : l'un est épris d'un chat, l'autre en pince pour un réverbère.

... invidé par saihtaM à 11:41





Exemple de mutantisme avéré

Par jour de grand vent, les caniches en laisse se transforment en cerfs-volants.

... invidé par saihtaM à 04:29





12 février 2007




Juste mort un peu ce soir. Dans indien. J’ai jamais aimé trop son corps, ce que j’ai aimé c’est ses yeux. Je dis ça pour rigoler. Oh mais t’as pas d’humour, des fois tu me fais de la peine. Je suis désolé de lui avoir fait ça mais c’est la vie. Parce que quand je l’ai quittée j’étais son père, son frère, son oncle. J’espère juste qu’il lui fera pas de mal.

Excuse-moi, je suis pas rassurée.

Peut-être qu’avec toi je vais guérir.

On va mourir.

... invidé par estragon à 23:50





just dead.



... invidé par [g-Cl4RENKO] à 21:44






... invidé par cocolinoNEVERdie à 17:13





09.02.07/05:38 pm.

« Non mais bon les gros ringards quoi. La seule chose qui les retient de faire des UV, c’est qu’ils ne pourraient plus coller avec cette idée d’underground sage et aseptisé sur laquelle ils se branlent. »

... invidé par estragon à 14:35





11 février 2007




INSANE.



... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:46





une forme de bilan [dub]

for those who did not know : Gestra Ishmethit is alive,
the unintentional hero of this deep space carceri X [credits following : ] the rupestral paintings in my skull X mister georges’ geometricks
! the foutain you may see is not the perfect reflection of the metapoesis emergence, but let your eyes melt in 565656, the number of the mist.

... invidé par n(cqls)² à 23:44





09 février 2007




« L’art est donc la question de ceux qui savent que les réponses s'enroulent en spirale vers le haut jusqu'à buter sur certaines cloisons - et quand bien même l'univers s'arrête. L'art est la question fondamentale de ceux qui ne s'enroulent pas vers le haut, mais vers le bas. Le bas.

L'art est la question sur la question. Tu es ma question, en quoi te questionnes-tu sur ma question sur toi. Comme un chemin fou qu'on laisse à la dérive, qu'on laisse sinuer en l'autre. Il n'a plus besoin de vous. Il ne vous concerne plus. Vous l'avez jeté en l'autre. Qu'il se démerde l'autre, qu'il se démerde ce chemin, qu'ils se démerdent tous ensemble. L'art est une question d'autonomie. Une question sur la prise de risque, la pire prise de risque qui soit. La question sur la capacité à endosser un rôle plus qu'anonyme dans sa société. Être une question sans réponse, c'est être anonyme. Le choisir c'est l'art.

Deuxième partie : Reformulons : le choisir c'est être humain.

Il ne vous reste plus que 2h38. »

Don Quichotte mesure 118 centimètres, on l’a mesuré contre le radiateur, on a mis un petit trait rouge sur la fenêtre. Don Quichotte battait des ailes, saignait du flanc. Il s’infiltre partout, surtout entre nous. Ce qui nous sépare est simple à visualiser. Un grand trou. Il s’est logé là. Il pose de curieuses questions parfois. Au début il ne parlait pas.

« Chère Hariette. 12 Juillet 2006.

Tu as peut-être cru indéfiniment qu’on te savourerait jusqu’à cette parcelle en toi qui pleure et qui se déforme et qui court de façon très bête et très exhaustive*, et tu t’abîmes, décevante de complaisance envers les connards. L’idiote machine – « les gens ont besoin de gens comme moi » penses-tu – qui se retrouve à faire des ronds dans une cave en présence de milliers de condamnés, qui vont tous dans le même sens en saignant du nez, et tes fleurs périssent dans les incendies de ces visages écornés que tu n’auras jamais lus, tout juste feuilletés, juste pour voir s’ils te ressemblaient, et tu te plains de ne pas être aimée, tu continues ces sourires pétrifiés, ces rondes et ces traquenards, tu te ramifies, tu souffres avec légèreté en repoussant dans ses contours la substance infinie de ta vie.

À minuit la musique retentit et les sinus frémissent. Des poèmes qui n’ont aucune utilité, qui sentent le parfum de ces constructions aseptisées où seule résonne la maladie. Des mammifères que tu condamnes et qui rétrécissent à vue d’œil plus tu cherches à conjuguer un sens. Des farandoles de bonheur que tu étreins quand le jour s’en va, l’apéritif en guise de plan d’épargne et l’étanchéité de tes tristesses qui coulent comme des moissons, la sonnerie de tes émerveillements, ta vieille tronche que tu endors dans des draps mouillés. Bientôt les barjots que tu traînes dans ta captivité, feront quelques degrés de plus que la température ambiante. »

Don Quichotte a un visage sale et délabré, il parle par onomatopées et se frotte les omoplates. Son oeil gauche glisse continuellement essuie souvent le sol. Sa bouche sirote des truites congelées, maman crie-t-il. Je l'accroche parfois, pour avoir la paix. Je regarde sa mère/ma femme. Don Quichotte est le fruit irrésistible d'une alliance comme tant d'autres, qui file la gangrène au quatrième doigt de la main gauche. Bonsoir ? Bonsoir. Un parasite. Méchant et imposteur.

« Chère Hariette. 13 Juillet 2006.

Comptine contemple une averse de photographes pas si émus qui hésitent entre l’actrice porno à gauche (véritablement inconnue) et la performance de machin dont ils ne savent pas le nom. Comptine trouve tout ça un peu disproportionné. À environ un mètre, José sert un verre. Il cuisine des pommes de terre maintenant. Il sait être gentil. C’est pas le problème. Il éjacule de la bouche. Assez vite. »

Don Quichotte est comme les chiens. À sept heures il vient. Sept heures. Bonsoir/bonsoir. Sept heures ce chien. Je lui dis : "Dis-donc ? Tu veux pas aller jouer sur l'autoroute ?"

*Entreprendre une analyse exhaustive de l'idée de causalité (BERGSON, Évol. créatr., 1907, p. 73).

Corps.

Chaque individu vient au monde dans un mouvement qui le « jette » au monde. De façon tout à fait aberrante, Ignatus Bêlard n’avait jamais glissé sur quoi que ce soit, et même en ce premier instant duquel rien ne fut décidé, son être tout entier refusait le bouleversement, l’entrelac naissant, le choc de la lumière, la perforation des poumons, la palpation d’autres corps. Ignatus boursouflé, rouge comme une civière restait accroché aux limbes de sa mère, on dût l’extirper de ce merdier grâce à un pied de biche, on le finit à coups de pieds. L’ « étant » est notre modalité de présence au monde, ce que nous sommes dans le monde, la somme du vécu et du présent, une ligne infinie, l’étant est notre présence au monde, soit une somme d’incohérences, d’aberrations, de prises de risques, d’aléas et de ruptures, c’est ce parcours aléatoire qui enrichit l’être, l’essence, qui le fait mouvoir. Ignatus vivait pétrifié. Il s’accrochait à sa seule essence comme un réservoir inaltérable, inépuisable, il glorifiait l’essence, il en avait sectionné tous ses sens. (Albinoni – Adagio in G minor).

On voit donc combien l’« être-jeté » d’Ignatus était altéré d’énormes contusions, dûes à un pied de biche, et combien son « étant » souffrait d’une catatonique immobilité.

C’est à partir de cette première dimension du Dasein, être-jeté et étant, que se développe l’existence, une sorte de mouvement vers l’autre et le monde, mouvement qu’Ignatus contemplait avec une suspicion mal rasée, qu’il calfeutrait à coups de karschers de Fluocaril, qu’il épongeait à grands coups de sourires, des sourires entre lesquels on voyait pointer parfois un petit bout d’endive, lesquels étaient promptement assassinés d’un coup de cure-dents à la nuit tombée et voici le seul jeté au monde qu’ait connu Ignatus, sa salive, épaisse et crémeuse dans le siphon de son lavabo rutilant, ses postillons qu’il crachait à la face du monde dans des restaurants où l’on pêchait morues et maquereaux à longueur de courbettes, il se prenait des coups dans la mâchoire, à force de buter contre les sempiternels mêmes murs.

Interlude.

"Je songe que j’ai eu besoin d’un animal familier pour supporter ces murs. Un animal qui efface tout, qui griffe les prunelles rend aveugle, qui perce les tympans, un animal qui efface la peur. Qui fait supporter l’envie de vivre. Au fond c’est cela. Ce n’est pas une envie de mourir. C’est cet effroyable gouffre entre une envie de vivre dévorante, et une existence, chétive, courte et déplumée comme un oisillon rampant."

Corps.

Ignatus n’avait même pas la volonté d’une mouche sur une merde.



« Chère Hariette. 14 Juillet 2006.

On était là, affreusement heureux, à regarder l’horizon, nos quilles frappaient la digue. Pensifs, on se retourna l’un vers l’autre, tendrement souriants d’un abominable bonheur. Puis on se remit à fixer l’horizon monstrueux.

On était là, affreusement heureux, on crachait des clous sur les mouettes. On se serrait horriblement la main, pleins d’un atroce bonheur. »

... invidé par estragon à 23:01





Jovanissandre.

Bonsoir/bonsoir. Bonsoir/bonsoir. Un Marlboro. Bonsoir, un Marlboro light. Bonsoir, je voudrais un paquet de Philip Morris. Bonsoir. Fortuna s’il vous plaît. Bonsoir, vous vendez des carnets de timbres ? Bonsoir/bonsoir. Quatre euros cinquante. Rouge ou bleu ? Bonsoir/bonsoir un paquet de bonsoir un paquet de bonsoir Fortuna bonsoir Marlboro ? bonsoir. Bonsoir ? Bonsoir. Bonsoir ! Bonsoir ? c’est au moment de la virgule que je me glace et que je me lasse les particules bonsoir/bonsoir boire une bière avec Philippe, Phil c’est mieux, Philip Morris Bleu ? Bonsoir ? Bonsoir. Demain faire les courses en tenant Don Quichotte par la main, rentrer ma langue dans la dentition de Sophie écarter sa partition bonsoir c’est plus pareil depuis, ça en devient même cadavérique d’être réveillé par ces chiens tous les matins heure fixe chronicité d’un certain type de demande, particulière, comme de faire un trou entre nos deux corps pour laisser une place à Don Quichotte en plein milieu de notre absence. Bonsoir/bonsoir, un Marlboro et... un petit briquet. Quelle couleur ? Et bien... heu... Dépêche-toi connasse. Rouge. Ne pas aller aux sports d’hiver. Sophie est trop chère et Don Quichotte aussi, Sophie éternue longuement la vie des gens dans l’oreille le soir crachote ses plaintes asthmatiques sur le dos de ma main on ne s’appelle plus Sophie de nos jours. On s’appelle Bonsoir Jennifer ou Brenda pour corriger le léger infarctus familial à Saint-Nom les Bretèches. On corrige le parcours du ventricule en l’insonorisant vedette et supérette Jennifer, tu brilleras comme une étoile dans le décor contreplaqué on devinera en toi une possible potiche quand tu crieras dans la douche des las falsifiés et des dos minés Don Quichotte fumera des lumières crues et sniffera des saturations comme son père Bonsoir. En te regardant danser. Bonsoir ? Bonsoir connasse. Un Marlboro rouge et un paquet de Drum s’il-vous-plaît. Pour finir il y a bien Bertrand que je pourrais appeler. Mais Bertrand finit tard. Alors l’attendre en face.

... invidé par estragon à 16:44





De quoi se poser des questions.

... invidé par estragon à 15:38





08 février 2007




sa majesté des mouches.



... invidé par [g-Cl4RENKO] à 17:50





...

je me suis fait poser des rideaux.

et me regarde pas quand j’ai envie d’être avec toi, outre le ridicule circule, et si ça pouvait couler par ailleurs, peut-être à l’autre sens que oui sans doute oui, je ravalerais.

je t’ai encore au fond d’la gorge.
j’hésite. à courir après le sommeil, shooter les contours, redevenir.
ouais. redevenir.


... invidé par Nann à 14:46





07 février 2007




step 14: saint georges
nihil obstat
ps: nihil obstat suicide tour 2005 closed

... invidé par cocolinoNEVERdie à 17:23





06 février 2007




cata-l


... invidé par n(cqls)² à 02:04





05 février 2007




(saint) georges.

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 23:33





04 février 2007




Steepest prize

Enslaved queasiness up agony, creep qua paramour, thump nice loneness...

... Oedipean or livid convincer à 20:36

... invidé par cocolinoNEVERdie à 19:57





03 février 2007




steppes 12

ce qui reste, peu de rein pus du cul ?

... invidé par cocolinoNEVERdie à 01:01





02 février 2007




Bordel

Mon con t'ambe en queue.

... invidé par OlendelL à 15:16





01 février 2007




Adam.

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... invidé par [g-Cl4RENKO] à 22:11






... invidé par cocolinoNEVERdie à 12:16




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